Installations, dirigeants, les recrues découvrent le FCV !

Nos nouvelles têtes ont enfin pu découvrir les installations du Parc Municipal des Sports à la suite d’une réunion de présentation le 11 juin. Les contacts entre staff et recrues se sont faits avant ou pendant le confinement, mais les signatures sont devenues officielles ce jeudi 11 juin. Les nouveaux joueurs qui porteront le maillot rouge et blanc la saison prochaine ont pu faire connaissance avec nos dirigeants, et discuter plus profondément avec leurs entraîneurs. D’autre part, ils ont visité les vestiaires, le club house ou encore le terrain pour ceux qui n’y étaient jamais venus. Une décision que Pierre Baeza ne regrette vraiment pas. « Les premières impressions que j’ai eu sont excellentes et j’ai été très bien accueilli par le staff (en particulier Jean Luc). Avant que nous signions avec mon frère, nous avons senti des valeurs humaines très forte et c’est cela sans hésitations qui nous a donné envie de rejoindre le FCV » explique l’ancien gruisssanais. Pour l’ex-montalbanais Julien Souques, « l’ambiance au sein du club a l’air très familiale avec une bonne cohésion du groupe. Un groupe qui par ailleurs a de jolies ambitions. Il va y avoir de quoi passer une super saison tous ensemble » En espérant que nos nouveaux joueurs soient aussi épanouis sur le terrain et aident le club dans ses objectifs.  

L’intersaison du FCV : Acte 15, un Ferrand peut en cacher un autre

Dans la famille Ferrand, nous demandons le fils. Bastien Ferrand, fils de Manu Ferrand, signe donc au FCV pour la saison 2020-2021 au poste d’ailier. Pour les plus anciens aficionados du club lauragais, le nom d’Emmanuel Ferrand « dit Manu » ne doit pas vous être inconnu. Un troisième ligne à l’endurance impressionnante de la fin du siècle dernier qui faisait parti du groupe ayant disputé la finale du championnat de France en 1998. Un an plus tard, en métropole, naissaît Bastien, qui a grandi sur l’île de la Réunion. Mais depuis, petit Bastien est devenu grand. Il a choisi de quitter le piton de la Fournaise pour rejoindre le volcan bouillant des supporters fécévistes et connaître les chaudes ambiances du Parc Municipal des Sports. Une motivation qu’il doit justement au parcours de l’équipe réserve lors du titre de champion de France. Alors hebergé chez la famille Couzinet, il suit l’épopée et décide donc de signer son contrat pour faire perdurer le nom de Ferrand sous la tunique rouge et blanc. Etudiant en génie civil, ce jeune joueur (21 ans et 4 mois) va-t-il faire oublier le prénom de son papa au profit du sien ? Réponse sur le terrain.

Le FCV s’impose largement contre Malemort

A deux journées de la fin de cette phase régulière, le FCV se doit de remporter ce match avec le bonus pour continuer à approcher un maximum le haut du tableau. L’équipe B elle n’aura pas eu à se mettre en tenue avec une victoire par forfait. L’occasion pour elle, de participer à cette journée particulière en faisant une séance d’entraînement ludique. Le FCV est visiblement très pressé, il ne fallait pas arriver en retard dans les travées du stade municpal. A peine la minute d’applaudissement à la mémoire de Michel Billac et Alain Ramond terminée, le FCV lance la première offensive et Axel Vergne marque. Mathieu Mignonat placé sur l’aile pousse le ballon d’un jeu au pied et Axel Vergne fait parler sa vitesse. Transformation manquée par Baptiste Eridia qui trouve le poteau. (1′ 5-0). Le même Eridia qui marquera l’essai deux minutes plus tard. Mathieu Mignonat, encore passeur décisif, donne la gonfle main-main au dix villefranchois. Lancé comme un frelon, il laisse tout le monde sur place et file aplatir dans le coin droit. Transformation manquée de peu. (3′ 10-0). Juste après, le buteur corrézien Fournier tente de réduire le score mais manque la cible. Le score en reste là avant que Baptiste Eridia ne passe une pénalité de 22 mètres en face des poteaux. (10′ 13-7). Mais Malemort, accrocheur, s’offre un premier essai à la douzième minute. Un jeu au pied par dessus et l’ailier Boucharenc accélère pour plonger dans l’en-but. Le buteur Fournier transforme. (12′ 10-7). Si le FCV s’impose par sa vitesse, il inflige également aussi un défi physique à l’adversaire du jour. Après avoir bien travaillé le rideau défensif, le FCV fait craquer Malemort par la puissance de Yoann Rayssac. Baptiste Eridia transforme. (22′ 20-7). Maxime Alasset ajoute aussi son essai quelques minutes plus tard en zigzagant dans la défense. Un essai transformé par Eridia. (25′ 27-7). Le FCV prend le large quand Baptiste Eridia trouve la brèche dans la défense de Malemort pour s’offrir un doublé. (33′ 34-7).   Neuf essais au total A le reprise, le FCV marque par Maxime Alasset. Clément Allabert pousse au pied et l’arrière villefranchois marque le sixième essai des siens. Transformation de Baptiste Eridia. (41′ 41-7). Malemort tente de revenir bien dans le match et passe dix minutes dans le camp villefranchois avant de concrétiser ses efforts par un essai collectif transformé. (53′ 41-14). Lucas Anderhalt remet le FCV à cinq essai d’avance après avoir trouvé la faille dans la défense. Cyril Groy manque la transformation. (53′ 46-14). Malemort accroche un peu plus Villefranche  dans ce second acte mais les Rouge et Blanc gardent le large. Puis, vient le hat-trick pour Alasset. L’arrière villefranchois efface son vis a vis et aplatit en coin pour son 3e essai de l’après-midi. Cyril Groy transforme. (71′ 53-14). Le FCV conclut son match en beauté avec un superbe essai. Cyril Groy perce et en tombant trouve Maxime Alasset. L’arrière décale parfaitement Grégoire Jamme de Lagoutine. Le jeune ailier provoque un courant d’air devant le banc de ses coachs tant il est rapide. Essai transformé par Cyril Groy (80′ 60-14). Fin d’une partie dominée et gérée de bout en bout par le FCV. FCV 60 – 14 MALEMORT (34-7) Pour le FCV : 9 essais de Axel Vergne (1′), Baptiste Eridia (3′,33′), Yoann Rayssac (22′), Maxime Alasset (25′,41′,70′), Lucas Anderhalt (57′) et Grégoire Jamme de le Goutine (80′), 6 transformations de Baptiste Eridia (22′,25′,33′,41′) et Cyril Groy (70′,80′), 1 pénalité de Baptiste Eridia (10′) Pour Cahors : 2 essais de Boucharrenc (12′), collectif (53′), 2 transformations de Fournier (12′, 53′) Le XV de départ du FCV : 1-Anthony Pradalié, 2-Tom Torrent, 3-Yoann Rayssac, 4-Mathieu Julien, 5-Juan Facundo Nunez, 6-Dorian Lafon, 7-Guillaume Blache, 8-Mathieu Mignonat (cap), 9-Clément Allabert, 10-Baptiste Eridia, 11-Grégoire Jamme de Lagoutine, 12-Cyril Groy, 13-Lucas Courthieu, 14-Axel Vergne, 15-Maxime Alasset. Entrés en jeu : 16-Eric Bortolozzo, 17-Laurent Marquié, 18-Olivier Rumeau, 19- Maxime Nérocan, 20-Martin Boistard, 21-Lucas Anderhalt, 22-Yven Barrau. Staff : Nicolas Hallinger, Claude Guiraud, Richard Couzinet, Géraldine Diovada, Philippe Faure Le XV de départ de Malemort : 1-Pezet (cap), 2-Geslot, 3-Tuncer, 4-Tholey, 5-Laurent, 6-Farge, 7-Dupuy, 8-Chanourdi, 9-Solis, 10-Fournier, 11-Roume, 12-Manteaux, 13-Niero, 14-Boucharenc, 15-Von Theobald Entrés en jeu : 16-Chabe, 17-Bounay, 18-Moronval, 19-Angheluta, 20-Seh Ambella, 21-Veyssiere, 22-Reynier Staff :Medawar, Zaneti, Teillol, Donovaro, Peyramaure Arbitre : Julien Villenave (Ligue Nouvelle Aquitaine) Réactions : Baptiste Eridia : « On savait que Malemort est une équipe qui pouvait nous casser les pieds si on ne tuait pas le match rapidement. On voulait démarrer fort et marquer rapidement pour nous mettre dans le bon sens de la marche. Et puis on voulait aussi se rassurer sur notre jeu et notre état d’esprit. On a tenté des choses ça nous a réussi donc tant mieux. L’objectif premier était de faire le score rapidement et de ne pas prendre d’essais. On a marqué rapidement mais on a eu quelques endormissements, ce qui a permis à Malemort de marquer deux essais. Mais on est restés sur notre ligne directrice en respectant le jeu qu’on voulait faire pour aller chercher le bonus et le sécuriser. Le match à Pamiers ? Oui il est déjà dans nos têtes et on s’attend à un gros match chez eux. Même si on attend la décision du match Castelsarrasin Mazamet de mercredi, ça sera un match où il va pas falloir se regarder les lacets car Pamiers est difficile à bouger chez eux, encore plus au vu de l’enjeu pour la suite. On a deux semaines pour se préparer, alors au boulot. »